Il est donc nécessaire de souscrire à un contrat chez un assureur, si besoin en demandant des devis à différentes compagnies.
La vignette d’assurance (certificat d’assurance)
Lorsqu’un véhicule est assuré en France, le propriétaire récupère de son assureur une vignette verte qu’il doit apposer directement à l’intérieur de son pare-brise : c’est le certificat d’assurance. Cette vignette détaille la période durant laquelle le véhicule est assuré et la plaque d’immatriculation du véhicule. Elle est envoyée par la poste. En attendant de la recevoir, il peut être possible de placer une attestation provisoire pour justifier son droit à rouler, du moment que la période de couverture du contrat a effectivement débuté.
Contacter l’assurance en direct
Pour vérifier si un véhicule est assuré, il suffit parfois de contacter directement l’assureur par téléphone en lui donnant le nom figurant sur le contrat et les périodes d’assurance. Celui-ci sera alors en mesure de vous confirmer ou non la véracité des informations. C’est la garantie d’être serein. Différents contrats d’assurance existent, qui peuvent couvrir ou non un conducteur supplémentaire en cas de prêt du véhicule à un ami par exemple. Dans le domaine de l’assurance il existe le fichier agira qui permet aux sociétés d’assurances, de vérifier les antécédents d’un futur assuré (déclaration d'antécédents) lors de la souscription d’un contrat d’assurance automobile. Certaines personnes sont donc "fichées agira".
Les conséquences d’un défaut d’assurance
En cas d’accident avec un tiers, c’est la responsabilité civile du conducteur fautif qui va être recherchée. Grâce à son assurance, il évite le risque d’avoir à dédommager seul les dégâts qui se chiffrent parfois à des dizaines de milliers d’euros, en cas de gros accident de la route. Les spécialistes Trustoo peuvent vous aider et vous conseiller dans vos démarches. La police a maintenant accès à un fichier des voitures assurées pour vérifier les informations. En cas de conduite sans assurance, l’amende est très lourde : 3750 euros et 7500 euros en cas de récidive. Si le véhicule appartient à une personne morale, l’amende est quintuplée.